Pour rendre sa «petite» encore plus attractive, BMW n’a pas lésiné! Plus jolie, plus sexy, suréquipée comme les «grandes», plus personnalisable, elle est chargée d’amener de nouveaux clients à la marque. Mission accomplie: 70% de ses acheteurs viennent d’autres marques!
Leçon numéro un: ne jamais se reposer sur ses lauriers! Pour la troisième mouture de sa Serie 1, BMW applique le concept à la lettre! Dame! On ne doit pas négliger celle qui, fidèlement, attire de nouveaux clients à la marque depuis 2004.
Des petits «plus» partout
Plus de confort, plus de fonctionnalité, des moteurs plus modernes et plus efficients et l’accès à des raffinements technologiques jusqu’ici réservés aux modèles plus prestigieux: voilà les nouveaux points forts de la Serie 1.
Et, puisque le principe fonctionne à merveille chez la «petite sœur» Mini, on a également appliqué le principe de la personnalisation sur mesure à la 1. Au final, vous avez le choix entre deux versions de base. La «Urban», bling-bling et branchée, pour les jeunes citadins en mal de design et de high-tech. Et la «Sport», plus radicale et plus performante.
6500 possibilités
Au total, plus de 6500 possibilités de rendre votre Serie 1 unique, en jouant sur des critères aussi variés que le design des jantes, les couleurs de l’habitacle ou la plongée délicieuse dans une liste d’options aussi longue qu’une journée sans pain.
Votre porte-monnaie ne vous dira pas forcément merci mais, à l’arrivée, on a ainsi pu tester quelques modèles qui n’avaient vraiment plus rien à envier aux grandes, comme disait la concurrence…
Le premier point qui frappe, c’est le «feeling BMW». Aussitôt assis dans l’habitacle de la Serie 1, on se demande si on ne s’est pas trompé. Si on n’a pas atterri par mégarde dans une Serie 5. Même tableau de bord, même levier de vitesse, même bouton central de commande de l’ordinateur de bord et de la technologie embarquée. Bref, tout ce qui donne aux «grosses» BMW leurs lettres de noblesse se retrouve, à l’identique, dans la Serie 1.
Oui, mais en plus petit, direz-vous. C’est certain. Mais pas frappant… En réinterprétant leur voiture, les ingénieurs ont réussi à la rendre plus spacieuse, plus confortable, plus accueillante aussi. Mission accomplie!
De l’espace, de l’espace…
Fou ce que 8 centimètres et demi de plus en longueur et 1,7 cm en largeur peuvent transformer le sentiment d’espace à l’intérieur. Et sur la route? C’est… une BMW. Avec tout ce que cela suppose de confort, de qualité, de maniabilité, de tenue de route et de freinage performant. En un mot comme en cent, la 1 est au-dessus de la plupart des critiques. Ce qu’on a le plus aimé? Son programme Eco Pro, qui permet de rationaliser au maximum la consommation. Et le petit test sur circuit, qui a permis de mettre en exergue les extraordinaires qualités du châssis actif «Adaptative Drive». Que l’on peut obtenir. En option, bien sûr…
Leçon numéro un: ne jamais se reposer sur ses lauriers! Pour la troisième mouture de sa Serie 1, BMW applique le concept à la lettre! Dame! On ne doit pas négliger celle qui, fidèlement, attire de nouveaux clients à la marque depuis 2004.
Des petits «plus» partout
Plus de confort, plus de fonctionnalité, des moteurs plus modernes et plus efficients et l’accès à des raffinements technologiques jusqu’ici réservés aux modèles plus prestigieux: voilà les nouveaux points forts de la Serie 1.
Et, puisque le principe fonctionne à merveille chez la «petite sœur» Mini, on a également appliqué le principe de la personnalisation sur mesure à la 1. Au final, vous avez le choix entre deux versions de base. La «Urban», bling-bling et branchée, pour les jeunes citadins en mal de design et de high-tech. Et la «Sport», plus radicale et plus performante.
6500 possibilités
Au total, plus de 6500 possibilités de rendre votre Serie 1 unique, en jouant sur des critères aussi variés que le design des jantes, les couleurs de l’habitacle ou la plongée délicieuse dans une liste d’options aussi longue qu’une journée sans pain.
Votre porte-monnaie ne vous dira pas forcément merci mais, à l’arrivée, on a ainsi pu tester quelques modèles qui n’avaient vraiment plus rien à envier aux grandes, comme disait la concurrence…
Le premier point qui frappe, c’est le «feeling BMW». Aussitôt assis dans l’habitacle de la Serie 1, on se demande si on ne s’est pas trompé. Si on n’a pas atterri par mégarde dans une Serie 5. Même tableau de bord, même levier de vitesse, même bouton central de commande de l’ordinateur de bord et de la technologie embarquée. Bref, tout ce qui donne aux «grosses» BMW leurs lettres de noblesse se retrouve, à l’identique, dans la Serie 1.
Oui, mais en plus petit, direz-vous. C’est certain. Mais pas frappant… En réinterprétant leur voiture, les ingénieurs ont réussi à la rendre plus spacieuse, plus confortable, plus accueillante aussi. Mission accomplie!
De l’espace, de l’espace…
Fou ce que 8 centimètres et demi de plus en longueur et 1,7 cm en largeur peuvent transformer le sentiment d’espace à l’intérieur. Et sur la route? C’est… une BMW. Avec tout ce que cela suppose de confort, de qualité, de maniabilité, de tenue de route et de freinage performant. En un mot comme en cent, la 1 est au-dessus de la plupart des critiques. Ce qu’on a le plus aimé? Son programme Eco Pro, qui permet de rationaliser au maximum la consommation. Et le petit test sur circuit, qui a permis de mettre en exergue les extraordinaires qualités du châssis actif «Adaptative Drive». Que l’on peut obtenir. En option, bien sûr…
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