Soignée dans sa présentation et bien fournie en moteurs, la BMW Série 6Cabriolet approche le nec plus ultra.
La nouvelle Série 6 rompt avec le style parfois controversé de sa devancière, signée Chris Bangle. Sous le coup de crayon du Hollandais Adrian Van Hooydonk, cette nouvelle génération adopte une ligne plus classique. Force est de reconnaître que cette BMWSérie 6 version cabriolet en impose, avec ses lignes assez massives, son long empattement et sa haute ceinture de caisse. Une grande 2+2 finalement assez respectueuse de son héritage.
Avec un tel gabarit (4,89 m, soit + 7 cm) et plus de deux tonnes à mouvoir, on s'attend à un comportement pataud. Même en l'absence de la suspension à amortissement piloté Dynamic Drive, la Série 6 accepte un rythme relevé. Et pour cause. La marque à l'Hélice lui a offert ses deux plus belles pièces essence « maison », en la personne d'un 6cylindres en ligne 3.0 de 320 ch (640i) et d'un somptueux V8 4.4 de 407 ch (650i), le tout « protégé » par un arsenal technologique dernier cri offrant un comportement routier de haut niveau. Concernant la transmission, la BMW Série 6 fait appel à une boîte automatique ZF à huit rapports douce et réactive.
Mené à un rythme soutenu, le châssis accepte sans broncher la puissance, bien aidée par la monte pneumatique de grande taille. On est vraiment bluffé par son agilité. Non content de vous coller aux sièges avec ses 600 Nm disponibles dès 1.750 tr/min, ce moteur (650i) vous honore de sa trop douce complainte lors des montées en régime. Et oui, la mécanique n'a pas franchement de voix, les deux sorties d'échappement demeurant quasi muettes ! Dommage, lorsque vous sortez découvert. Pour l'anecdote, le maniement de la capote, 100 % automatisé, nécessite 19 secondes pour une ouverture complète et 24 seconde pour se retrouver à l'abri, et ce jusqu'à 40 km/h ou à l'arrêt. Pour un supplément de sensations, il ne faudra donc pas hésiter à passer en mode Sport +, à l'aide du système de régulation du comportement. La pédale de gaz se fera alors plus sensible, la direction plus directe et l'ESP plus joueur.
La nouvelle Série 6 rompt avec le style parfois controversé de sa devancière, signée Chris Bangle. Sous le coup de crayon du Hollandais Adrian Van Hooydonk, cette nouvelle génération adopte une ligne plus classique. Force est de reconnaître que cette BMWSérie 6 version cabriolet en impose, avec ses lignes assez massives, son long empattement et sa haute ceinture de caisse. Une grande 2+2 finalement assez respectueuse de son héritage.
Avec un tel gabarit (4,89 m, soit + 7 cm) et plus de deux tonnes à mouvoir, on s'attend à un comportement pataud. Même en l'absence de la suspension à amortissement piloté Dynamic Drive, la Série 6 accepte un rythme relevé. Et pour cause. La marque à l'Hélice lui a offert ses deux plus belles pièces essence « maison », en la personne d'un 6cylindres en ligne 3.0 de 320 ch (640i) et d'un somptueux V8 4.4 de 407 ch (650i), le tout « protégé » par un arsenal technologique dernier cri offrant un comportement routier de haut niveau. Concernant la transmission, la BMW Série 6 fait appel à une boîte automatique ZF à huit rapports douce et réactive.
Mené à un rythme soutenu, le châssis accepte sans broncher la puissance, bien aidée par la monte pneumatique de grande taille. On est vraiment bluffé par son agilité. Non content de vous coller aux sièges avec ses 600 Nm disponibles dès 1.750 tr/min, ce moteur (650i) vous honore de sa trop douce complainte lors des montées en régime. Et oui, la mécanique n'a pas franchement de voix, les deux sorties d'échappement demeurant quasi muettes ! Dommage, lorsque vous sortez découvert. Pour l'anecdote, le maniement de la capote, 100 % automatisé, nécessite 19 secondes pour une ouverture complète et 24 seconde pour se retrouver à l'abri, et ce jusqu'à 40 km/h ou à l'arrêt. Pour un supplément de sensations, il ne faudra donc pas hésiter à passer en mode Sport +, à l'aide du système de régulation du comportement. La pédale de gaz se fera alors plus sensible, la direction plus directe et l'ESP plus joueur.
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