ESSAI - Esthétique, châssis, intérieur, la nouvelle version du célèbre monospace de la marque à l'éclair n'a plus rien en commun avec la précédente génération.
Le style
Aux rondeurs de l'ancien modèle succèdent des lignes tendues et des flancs sculptés accrochant la lumière. Le pare-brise s'incline, mais les surfaces vitrées restent importantes. Des feux avant en boomerang soulignent le regard de la voiture. Le relent utilitaire du Zafira disparaît complètement, et c'est ça qui compte.
L'intérieur
Là aussi, table rase du passé. Tout est nettement plus cossu et les matériaux, à l'exception de quelques plastiques, sont d'un aspect flatteur. Certains assemblages mériteraient cependant plus de soin. Le bloc central est celui de l'Insignia: une bonne chose. Les coloris sont chaleureux et un éclairage indirect dans les portes augmente la sensation de bien-être dans l'habitacle.
La modularité
Point fort du Zafira, elle demeure exceptionnelle. Les 7 sièges coulissent ainsi dans tous les sens et les deux derniers s'escamotent dans le plancher en un clin d'œil. Au deuxième rang, le dossier du siège central se rabat pour former un confortable accoudoir et accroître alors une ambiance «lounge» vantée par Opel. La voiture compte plus de 30 espaces de rangement différents afin de pouvoir ranger tous les jouets des enfants, dont une incroyable console centrale multifonction. À 710 litres en configuration 5 places, le coffre gagne 65 litres. Tous les sièges arrière repliés, son volume s'établit à 1840 l (+ 40 l). Les cyclistes apprécieront l'astucieux porte-vélo intégré pouvant emporter jusqu'à 4 machines sans limitation de vitesse.

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire