La nouvelle version de la Série 6 se complète d’un coupé de luxe, aux formes aguichantes et à la technologie de tout premier plan.
Alors que, d’ordinaire, les constructeurs lancent d’abord la version de base d’un nouveau modèle, BMW a pris le temps de réfléchir. Lancer un modèle de base au printemps, c’est bien. Mais lancer sa déclinaison cabriolet six mois plus tard, c’est manquer une saison d’été…
Malin, le constructeur bavarois a inversé la tendance. En janvier dernier, sur les routes de l’Afrique du Sud, c’est donc au volant de la nouvelle version cabrio de la Série 6 de BMW que nous avions pu effectuer un galop d’essai. Un vrai régal!
Aujourd’hui, c’est avec la version coupé de cette même Série 6 que nous avons parcouru quelques centaines de kilomètres dans les environs de Munich. Un autre régal!
Cette Série 6 frappe d’emblée très fort. Elle capture votre regard, qui n’a de cesse de courir sur ses lignes racées, effilées, magnifiques. Du museau de requin, agressif, la tension court le long des flancs musclés, ciselés à la perfection, pour se terminer sur une poupe magistrale, où deux optiques pareilles à des sculptures achèvent de rendre la ligne aérienne. Une vraie beauté.
A l’intérieur, même constat. Le «poste de pilotage», tourné vers le pilote comme toujours chez BMW, est un modèle de design automobile. A peine installé derrière le volant, une impression de «sur-mesure» vous envahit.
Au moment où l’on presse le bouton de démarrage, la planche de bord – noire jusque-là – prend vie. Apprêtez-vous à entrer dans un monde où la technologie la plus évoluée n’aura de cesse de vous rendre la vie plus facile. Parce que, pour cette troisième génération de la Série 6, BMW a placé la barre très, très haut. L’idée de base? Offrir au client «toutes les innovations possibles sur quatre roues à l’heure actuelle» (sic)! Un pari plutôt arrogant, certes, mais un pari tenu.
Sportive, avant tout
Notre modèle d’essai? Une 650i, le haut de gamme absolu, propulsée par un moteur 8 cylindres équipé de la technologie Twin Power à injection directe. Un monstre! 4395 cm3 de cylindrée pour une puissance de 407 chevaux. Dame!
Pourtant, cette reine du bitume affiche une valeur des plus surprenantes. Sous le libellé «consommation mixte normalisée», on trouve un chiffre qui paraît farfelu: 10,5 l/100 km. Une faute de frappe? Que nenni! La traduction, en chiffres, des efforts des ingénieurs motoristes. Le secret? Une de ces «innovations» de pointe dont on vous parlait à l’instant.
Efficace, l’«EcoPro»!
Partie intégrante du programme «BMW Efficient Dynamics», la Série?6 est pourvue du Stop & Start, bien sûr, mais aussi d’un nouveau mode «EcoPro», que l’on retrouve sur plusieurs modèles de la gamme. Y compris sur la Série?1, dont on vous parlera bientôt. Ledit mode, que l’on sélectionne par simple pression sur un bouton de la console centrale, agit sur la cartographie du moteur, sur la réponse de la pédale d’accélérateur – qu’elle adoucit très nettement – et même sur la… climatisation, dont elle freine drastiquement la gourmandise. Le résultat? Lorsqu’on roule en ville, ou même lors d’un long trajet, la simple activation de ce mode «EcoPro» suffit à faire baisser la consommation de la voiture. Jusqu’à 20% de moins que sur le modèle précédent!
Et si, d’aventure, on recherche un regain de puissance pour un dépassement, par exemple, il suffit de passer temporairement en mode «Confort», «Sport» ou même «Sport +» pour avoir l’entier de la cavalerie à disposition. Facile.
Une pléthore d’options
Le reste de la collection technologique? Vous y trouverez, pêle-mêle, le désormais célèbre BMW Connected Drive, qui vous propose jusqu’à cinquante options. De l’assistant de parcage au système de reconnaissance des piétons, en passant par le Stop & Start, le Park Assist, le tempomat adaptatif, l’accès à l’Internet ou à vos e-mails! Il vous faudra des jours pour apprendre à tout utiliser…
Et puis il y a les équipements optionnels. L’affichage tête haute – en couleur! – les phares à LED, les… Passons. La Série 6 est bel et bien une formidable vitrine technologique.
Ce qu’il faut en retenir? C’est qu’elle marque un cap dans le domaine de la voiture de sport. Si elle sait se montrer redoutable, avec ses motorisations puissantes et sa fantastique boîte robotisée à huit rapports, elle sait aussi faire patte de velours et se plier aux exigences modernes en matière de consommation et de diminution des émissions nocives.
Dès octobre, vous pourrez vous faire votre propre idée. Elle arrivera avec trois motorisations: V8 de 407 chevaux, V6 de 320 chevaux et une version diesel V6 de 313 chevaux. Dont la consommation est annoncée à 5,4 l/100 km et qui, elle, ne rejette que 143 g de CO2 par kilomètre!
Alors que, d’ordinaire, les constructeurs lancent d’abord la version de base d’un nouveau modèle, BMW a pris le temps de réfléchir. Lancer un modèle de base au printemps, c’est bien. Mais lancer sa déclinaison cabriolet six mois plus tard, c’est manquer une saison d’été…
Malin, le constructeur bavarois a inversé la tendance. En janvier dernier, sur les routes de l’Afrique du Sud, c’est donc au volant de la nouvelle version cabrio de la Série 6 de BMW que nous avions pu effectuer un galop d’essai. Un vrai régal!
Aujourd’hui, c’est avec la version coupé de cette même Série 6 que nous avons parcouru quelques centaines de kilomètres dans les environs de Munich. Un autre régal!
Cette Série 6 frappe d’emblée très fort. Elle capture votre regard, qui n’a de cesse de courir sur ses lignes racées, effilées, magnifiques. Du museau de requin, agressif, la tension court le long des flancs musclés, ciselés à la perfection, pour se terminer sur une poupe magistrale, où deux optiques pareilles à des sculptures achèvent de rendre la ligne aérienne. Une vraie beauté.
A l’intérieur, même constat. Le «poste de pilotage», tourné vers le pilote comme toujours chez BMW, est un modèle de design automobile. A peine installé derrière le volant, une impression de «sur-mesure» vous envahit.
Au moment où l’on presse le bouton de démarrage, la planche de bord – noire jusque-là – prend vie. Apprêtez-vous à entrer dans un monde où la technologie la plus évoluée n’aura de cesse de vous rendre la vie plus facile. Parce que, pour cette troisième génération de la Série 6, BMW a placé la barre très, très haut. L’idée de base? Offrir au client «toutes les innovations possibles sur quatre roues à l’heure actuelle» (sic)! Un pari plutôt arrogant, certes, mais un pari tenu.
Sportive, avant tout
Notre modèle d’essai? Une 650i, le haut de gamme absolu, propulsée par un moteur 8 cylindres équipé de la technologie Twin Power à injection directe. Un monstre! 4395 cm3 de cylindrée pour une puissance de 407 chevaux. Dame!
Pourtant, cette reine du bitume affiche une valeur des plus surprenantes. Sous le libellé «consommation mixte normalisée», on trouve un chiffre qui paraît farfelu: 10,5 l/100 km. Une faute de frappe? Que nenni! La traduction, en chiffres, des efforts des ingénieurs motoristes. Le secret? Une de ces «innovations» de pointe dont on vous parlait à l’instant.
Efficace, l’«EcoPro»!
Partie intégrante du programme «BMW Efficient Dynamics», la Série?6 est pourvue du Stop & Start, bien sûr, mais aussi d’un nouveau mode «EcoPro», que l’on retrouve sur plusieurs modèles de la gamme. Y compris sur la Série?1, dont on vous parlera bientôt. Ledit mode, que l’on sélectionne par simple pression sur un bouton de la console centrale, agit sur la cartographie du moteur, sur la réponse de la pédale d’accélérateur – qu’elle adoucit très nettement – et même sur la… climatisation, dont elle freine drastiquement la gourmandise. Le résultat? Lorsqu’on roule en ville, ou même lors d’un long trajet, la simple activation de ce mode «EcoPro» suffit à faire baisser la consommation de la voiture. Jusqu’à 20% de moins que sur le modèle précédent!
Et si, d’aventure, on recherche un regain de puissance pour un dépassement, par exemple, il suffit de passer temporairement en mode «Confort», «Sport» ou même «Sport +» pour avoir l’entier de la cavalerie à disposition. Facile.
Une pléthore d’options
Le reste de la collection technologique? Vous y trouverez, pêle-mêle, le désormais célèbre BMW Connected Drive, qui vous propose jusqu’à cinquante options. De l’assistant de parcage au système de reconnaissance des piétons, en passant par le Stop & Start, le Park Assist, le tempomat adaptatif, l’accès à l’Internet ou à vos e-mails! Il vous faudra des jours pour apprendre à tout utiliser…
Et puis il y a les équipements optionnels. L’affichage tête haute – en couleur! – les phares à LED, les… Passons. La Série 6 est bel et bien une formidable vitrine technologique.
Ce qu’il faut en retenir? C’est qu’elle marque un cap dans le domaine de la voiture de sport. Si elle sait se montrer redoutable, avec ses motorisations puissantes et sa fantastique boîte robotisée à huit rapports, elle sait aussi faire patte de velours et se plier aux exigences modernes en matière de consommation et de diminution des émissions nocives.
Dès octobre, vous pourrez vous faire votre propre idée. Elle arrivera avec trois motorisations: V8 de 407 chevaux, V6 de 320 chevaux et une version diesel V6 de 313 chevaux. Dont la consommation est annoncée à 5,4 l/100 km et qui, elle, ne rejette que 143 g de CO2 par kilomètre!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire